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COVID-19 : le plan "Salvezza" aide le FLNC à rembourser Butagaz

Selon nos informations, des dirigeants du FLNC auraient rencontré Gilles Simeoni dans le plus grand secret, afin de requérir une mobilisation exceptionnelle des fonds du plan "Salvezza" pour acquitter leur dette envers Butagaz. Le plan "Salvezza è Rilanciu" a en effet été voté à l'Assemblée de Corse dans le but de venir en aide à l'économie locale.


"6 millions ! ces fous nous réclament 6 millions de consignes impayées", tempête Ghjuvan'Andria, comptable du FLNC. "Ca correspond à une demi-douzaine d'années d'attentats, c'est une somme énorme...si Gilles ne met pas la main à la poche, on est cuits ! Simu fritti ! On va devoir vendre notre stocks de missiles sol-air pour rembourser, et je m'y refuse...".





Joint par notre rédaction, le comité directeur de l'entreprise Butagaz n'a pas souhaité répondre à nos questions. Il nous a toutefois faxé un communiqué : "Butagaz, en cette période de crise, ne peut pas se permettre le moindre écart. Cette somme de 6M€ correspond aux consignes des bouteilles de gaz qui ne nous ont jamais été rendues, soit-disant détruites par des explosions. Nous ne voulons pas savoir ce que le FLNC faisait avec ces bouteilles, nous voulons seulement qu'il paye sa dette avant de pouvoir recommencer à travailler ensemble en toute confiance. N'oubliez pas que nous avons un lien particulier avec la Corse et que nous avons sponsorisé durant des décennies ses principales organisations politico-militaires. Et bon nombre de nos dirigeants aiment la Corse, ils y ont même des résidences secondaires..."


Affaire à suivre.


Ariana Camina

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