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Confinement : La tendance "SM" gagne la Corse !

Selon une enquête locale, en Corse, 1 couple sur 5 de plus de 30 ans a choisi de s'initier au sadomasochisme pendant le confinement, pour ne pas sombrer dans la monotonie. Nous vous proposons de lire le témoignage poignant de ce couple de quadras de Corse qui ont choisi de se confiner à Pila-Canale en Corse du Sud.


"Aujourd'hui je suis un homme ravagé...Nous en avons longuement discuté et avons convenu d'une séparation à l'amiable à la fin du confinement, le 15 décembre..."


" On s'ennuyait au village...On avait du temps à tuer. On s'était dit, nos amis ont essayé. Pourquoi pas nous ?..." Nous confie Orsu Maria, en couple avec Saveria depuis 7 ans.

" On a trouvé par hasard des tutos de pratiques sexuelles "nustrali" sur you tube datant du début du 20è siècle. C'est très bien fait. Les producteurs, Ghjacumina è Micheli, malgré leur âge avancé, ressuscitent de vieilles pratiques ancestrales et de vieux accessoires qui ont pimenté la vie sexuelle des Corses depuis très longtemps...Nous avons commencé notre initiation par de petits jeux, puis nous sommes montés en puissance au fil des semaines. J'ai commencé par lui bander les yeux avec les vieux foulards de Minnana, puis je lui ai mis 'l'imbastiu' sur le dos pour la monter. Et puis elle m'a demandé de la fouetter... D'abord avec des orties du jardin, puis avec 'a funa' de Ziu Dumenicu u mulateru, jusqu'à ce qu'elle me demande d'arrêter. Ca aurait dû me mettre la puce à l'oreille car je n'ai pas vu venir la suite...Et oui, fatalement, les rôles se sont inversés...Un soir elle m'a dit : 'approntati u m' amori parchì dumani tocc'à mè...' C'est à ce moment là que cela a dérapé. Pendant plus d'une semaine, elle était le GIGN, et moi le militant indépendantiste qu'elle venait perquisitionner à 6h du matin, dans un vieux caseddu abandonné au dessus du village. Les premiers jours, c'était rigolo, elle se contentait de m'insulter, me menotter et puis de me filer 2 ou 3 coups de crosses bien appuyées à mezzu u fronti et de me mettre un fusil calibre 12 sur la tempe ...Rien de bien méchant. Nous finissions par un coït magistral contre le mur en pierres sèches. Mais un jour ça a dérapé...Elle m'avait demandé de monter dormir seul au caseddu la veille. Elle m'a réveillé avec une charge explosive de 100 grammes de C4 qu'elle avait déposé devant la porte du caseddu ! Le souffle de l'explosion m'a projeté au sol. Et puis elle est entrée, m'a immobilisé à grands coups de tazer sur le torse et m'a menotté. J'ai crié pour qu'elle arrête. Elle était possédée...Et là, alors que j'étais en train de m'évanouir, je la vois se dénuder, saisir sa matraque, et elle s'est mise à forcer mon sphincter en hurlant, 'Tè o inculatu ! Pidda ti quissu ! È quissu dinnò !' Au bout d'une dizaine de violentes pénétrations, je me suis évanoui de douleur...A mon réveil, Saveria est venue m'embrasser le front en me disant qu'elle m'avait préparé un bon ragout de sanglier et un fiadonu en dessert. J'ai pu constater aussi qu'elle avait soigné mes plaies et que je portais une serviette hygiénique 'Vania maxi night' dans mon caleçon pour contenir l'hémorragie...Aujourd'hui je suis un homme ravagé...Nous en avons longuement discuté et avons convenu d'une séparation à l'amiable à la fin du confinement, le 15 décembre..."


Nabiddà Dicuzzà



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