Auchan Atrium : La soirée mousse a réuni prés de 6000 personnes samedi soir.
Enorme succès pour la soirée que toute la Corse du sud attendait hier soir, après plusieurs semaines de confinement et de couvre feu. Patrick Rocca a voulu frapper un grand coup pour "relancer les achats de Noel" en autorisant une "soirée mousse géante" dans les allées de la galerie marchande de la grande surface. De mémoire d'Ajaccien, on a jamais vu autant de monde à l'Atrium !
" Nous avions la certitude par l'ARS que la COVID ne se transmet pas par la mousse chlorée et la préfecture nous a autorisé une fermeture tardive. Rien ne s'opposait donc à la tenue de cette soirée..."
Patrick Rocca : " Hier soir, nous avons vendu du rêve et de l'espoir à la population Ajaccienne. Le rêve, avec les plus grands DJ insulaires comme Jul Simon, Christopher Angel, J.F. Waterclear, Pat Gat, et tant d'autres qui se sont relayés aux platines, et l'espoir, d'une Corse libérée de ses peurs, des ses angoisses, de ses frustrations et obligations sanitaires, qui profite de cette occasion unique de faire ses achats de Noël et de danser dans la mousse en toute légalité et dans le respect du protocole sanitaire... Nous avions la certitude par l'ARS que la COVID ne se transmet pas par la mousse chlorée et la préfecture nous a autorisé une fermeture tardive. Rien ne s'opposait donc à la tenue de cette soirée... Les participants avaient donc tout le loisir d'acheter leurs boissons alcoolisées à l'intérieur de la grande surface, puis de consommer et danser dans la mousse, ou tout simplement de faire leur course dans les magasins non essentiels..."
" J'étais trempée de la tête aux pieds ! Je me suis éclatée jusqu'à une heure du mat ! ..."
" C'était le feu ! Nous sommes arrivées vers 18h30 à l'Atrium avec mes amies et puis nous nous sommes laissées entrainer par l'ambiance..." Nous confie Maria Francesca. " J'étais trempée de la tête aux pieds ! Je me suis éclatée jusqu'à une heure du mat ! Il y avait de la mousse partout dans les allées. A minuit tout le monde était à poil et du coup, on a perdu nos fringues ! Après, quand on en a eu marre de nous faire peloter par une bande de paysans bombés de la Gravona poilus comme des ours, on a du se racheter des culottes et des pyjamas chez Etam pour rentrer nous coucher à Afa..."
Nabiddà Dicuzzà
