Corse : l'université revendique la paternité de la découverte de la "spermite".
Les autorités françaises très inquiètes après les révélations d'une équipe de chercheurs de l'Institut National Atomique Quantique Thermophile Intérieur Français (INAQTIF).
Une note alarmiste du ministre de la recherche a été déposée hier lundi, sur le bureau du ministère de l'intérieur. D'après nos sources, elle signifierait l'état d'urgence sans délais pour tous les services sous la tutelle du ministre Bruno Le Roux.
La menace terroriste est une réalité. L'arsenal des fondamentalistes, quels qu'ils soient, Salamistes, Salsifistes, indépendantistes ou Acéistes, s'étoffe dangereusement depuis que l'INAQTIF vient de certifier qu'un composant primordial à la confection d'explosifs est désormais à la portée de tous.
En effet, la Spermite composerait à plus de 77,7% cette nouvelle substance explosive. On imagine facilement les dangers représentés par cette nouvelle menace et combien il est facile désormais de se procurer cette substance illicite. À l'inverse, on imagine difficilement comment les autorités pourront endiguer cette vague de terroristes en puissance, sauf à mettre un policier derrière chaque branleur ou à rédiger une loi prônant l'émasculation de masse.
En attendant le branle bas de combat, les 323.000 policières de France équipées du tout nouveau "sac à foutre" en polyuréthane rétamé, seront chargées de faire décharger leurs collègues masculins de leur commissariat respectif.
Le Vatican de son côté en appelle à la vigilance et exhorte les autorités Françaises à ne surtout pas faire d'amalgame avec ses ressortissants. En parallèle, la découverte de la Spermite donne lieu à une polémique inattendue soulevée par l'université de Corté, qui revendique la paternité de cette étonnante, pour ne pas dire détonante, découverte.
"La molécule a été isolée dans nos laboratoires depuis une trentaine d'années déjà" nous confie l'universitaire Jean Foutre. "La communauté scientifique a toujours eu connaissance de nos travaux qui ont largement profité à la population. Jamais nous n'avons jugé bon de communiquer nos résultats aux autorités judiciaires ou policières. Nous ne reconnaissons que les autorités scientifiques. De la même manière, nous travaillons aujourd'hui sur la Branlite en étroite collaboration avec elles...". Poursuit le professeur.
Cette polémique semble anecdotique au regard du danger imminent qui nécessite la mise en place du plan "Vigiclée", étape ultime du plan Vigipirate.
Le ministre de l'intérieur profitera de sa prochaine visite en Corse pour dévoiler les nouvelles mesures de sécurité et s'informer sur la nouvelle menace, "la Branlite".
Minnie Pippu