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Cuttoli : Il vend sa femme à un Français pour s'acheter un Porsche Cayenne.


Nouvelle affaire de vente de femmes en Corse : Un quadragénaire, résidant à Cuttoli-Corticchiato, a vendu sa femme à un propriétaire d'une luxueuse résidence secondaire de la rive sud du Golfe d'Ajaccio, pour la modique somme de 100000 euros. Le contrat signé par les 2 parties, stipule que la jeune femme âgée de 28 ans, est tenue d'habiter la maison du richissime propriétaire, et de se comporter comme une compagne modèle, tous les ans, du 15 juillet au 15 août, et ce, jusqu'à l'âge de ses 35 ans. C'est une voisine, inquiète du train de vie du couple, qui a donné l'alerte.

"Avant les hommes nous gardaient à la maison..Aujourd'hui ils nous revendent avant qu'on ne soit plus cotées à l'argus...Hè una vargogna !..."

" Ça faisait un moment qu'elle ne rentrait plus de la ville avec des sachets Vuitton ou Rykiel..." Nous confie Angèle une voisine du village. "Comu ? Erani fusciati ! Si sò manghjati tutti i soldi di a vendita di i so tarreni , a u Casino d'Aiacciu. Si faciani livrà i pizzi !...Et du jour au lendemain, il a garé un Porsche Cayenne sur la place ? A moi on ne me la fait pas mi ! j'ai fait ni une, ni deux, et j'ai invité Maria Stella, sa femme, au café. Elle m'a tout raconté : Elle m'a dit qu'elles sont dix femmes Corses à habiter la maison du Français millionnaire, et qu'elle s'était fait copine avec une belle rousse de Lozzi. Elle m'a dit qu'elles dorment un soir chacune avec lui et que le reste du temps, elles bronzent autour de la piscine. Vous vous rendez compte ? Dumenicu a vendu sa femme100000 euros à un Français, pour s'acheter la Porsche !... Avant les hommes nous gardaient à la maison...Aujourd'hui ils nous revendent avant qu'on ne soit plus cotées à l'argus...Hè una vargogna !..."

"J'ai du braquer un agriculteur pour qu'il enlève ses brebis des terrains de Pépé, afin que je puisse les vendre...!"

Après de nombreuses sollicitations téléphoniques de la rédaction, Dominique Sbacca a finalement accepté notre demande d'interview : " J'ai toujours rêvé de me payer le Porsche Cayenne...Je n'avais qu'un modeste salaire de pompier au SDIS, et il était hors de question que je vende de la came pour me le payer ! J'ai rencontré ce monsieur par hasard dans une paillote de la Rive Sud, Il nous a fait cette proposition après avoir passé en revue la plastique de ma femme. Il parait que ça se fait beaucoup sur Porto Vecchio...Nous avons eu une discussion franche avec Maria Stella, elle a reconnu qu'elle est beaucoup trop dépensière. Vous vous rendez compte : J'ai du braquer un agriculteur pour qu'il enlève ses brebis des terrains de Pépé, afin que je puisse les vendre ! Une fois par mois, il fallait lui payer ses habits, ses manucures, pédicures, esthéticiennes, coiffeurs, coachs sportifs, soins au Sofitel, ses apéros au Lamparo tous les samedis soirs, et j'en passe !...Elle me revenait beaucoup plus cher qu'un crédit de voiture de luxe avec un forfait d'entretien chez Rognoni ! Et moi j'étais à la risa à rouler en Dacia !...Aujourd'hui, malgré la crise, je roule en Porsche Cayenne et nous vivons très bien..."

N.Dicuzza

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