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L'INCROYABLE PIRATAGE DE POKEMON GO PAR LES HACKERS DE DAESH

Jihadchu. C'est le nom d'un Pokémon créé par les programmeurs de Daesh et "infiltré" dans le jeu-phénomène planétaire Pokémon Go.

L'information, à peine croyable, vient d'être révélée par un groupe de hackers Russes sur leur site internet.

Dimitri, leader du groupe, explique : "je suis un enfant de la génération Pokémon et Internet. On a voulu pirater le jeu pour essayer de capturer, les premiers, tous les Pokémons. En s'introduisant dans les données de l'application, on a découvert un Pokémon inconu au Pokédex (une sorte de dictionnaire répertoriant tous les Pokémons, ndlr) : Jihadchu. On a vite compris que quelqu'un avait piraté le jeu avant nous et y avait placé ce Pokémon très rare, se déplaçant très vite".

Et les développeurs de l'application avouent leur impuissance : il est impossible de supprimer Jihadchu de leur système.

En parallèle, les responsables de Daesh semblent encourager leurs soldats à télécharger l'application Pokémon Go, pour aller pister Jihadchu.

Des spécialistes du mouvement terroriste s'interrogent : dans quelle mesure l'application, basée sur la réalité augmentée, influence-t-elle les comportements des combattants djihadistes ? La quête de Jihadchu modifie-t-elle la donne ?

"Il ne faut pas tomber dans l'excès", nous confie un spécialiste de l'islam radical, sous couvert d'anonymat. "Ce n'est qu'un jeu, et Jihadchu est virtuel. Méfions-nous donc des partisans de la théorie du complot qui diront que Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, le terroriste de Nice, essayait désespérément de poursuivre Jihadchu au volant de son camion".

En Corse, le FLNC du 22 octobre appelle "tous ses militants et sympathisants à télécharger l'application et à neutraliser Jihadchu sans aucun état d'âme, par tous les moyens possibles". Les présidents de la CTC, eux, demandent aux pouvoirs publics l'interdiction pure et simple de l'application "le temps que le

soit retrouvé".

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